PRESSE
"Une nouvelle formation pour le bal à découvrir d’urgence ! Nous avons le plaisir de vous présenter ce groupe naissant et prometteur : ils sont sept (ou quatre si on le souhaite), jeunes, enthousiastes, talentueux, avec un répertoire traditionnel reprenant les grands maîtres tels que D’Arienzo, Troilo, Pugliese, Biagi, Salgán… Un peps incroyable et communicatif insufflant une ambiance festive dans la milonga où ils jouent, et où il est impossible de rester assis ! Sauf, sciemment, au pied de la scène pour s’imprégner de leur style et de leur entrain.", Marie-Anne Furlan, La Salida n°77, février 2012.
"Un jeune orchestre ou un orchestre de jeunes ? Pourtant leur CV collectif mentionne La Orquesta Imperial, Trio Entonces, Les Fleurs Noires, Silencio, l’Ecole de Tango de Rotterdam. Tout commence dans un laboratoire de tango secret à Paris où sept musiciens de 20 à 30 ans et pourtant expérimentés, se sont rencontrés. Comment jouer du tango pour le bal tout en s’exprimant pleinement en tant qu’instrumentistes? Ils ont choisi le nom Silbando, « en sifflant », titre du tango classique de 1925 de Sebastián Piana et Cátulo Castillo. Dès leurs premiers concerts, le public des Abbesses et du Parloir à Paris a compris que Silbando était taillé pour le bal.", Gerry Kenny, Tangopostale, juillet 2012.
Interview de Chloë Pfeiffer et Sebastián Rossi par Serge Davy de l'association TempoTango pour l'émission "C'est pas à moi que tu vas faire écouter ça" n°35, septembre 2015.
Interview de Lysandre Donoso et Chloë Pfeiffer par Thomas Hugues et Sidonie Bonnec pour l'émission de RTL "La curiosité est un vilain défaut", 12 janvier 2016.
"Fort de trois violonistes, un contrebassiste et deux bandonéonistes emmenés par la pianiste orchestratrice Chloé Pfeiffer, l’Orquesta Silbando nous entraine dans un univers fantasmagorique et charnel. Le chanteur argentin Sebastian Rossi fait chavirer l’assistance avec sa présence de dandy enjoué et une voix de malevo. Les musiciens sont français, argentins, franco-argentin, franco-chilien et franco-espagnol, en somme une véritable multinationale latine !", Christophe Chat-Verre, Air Caraïbes, janvier 2016.
"Né en 2010, le groupe Silbando […] compte parmi les formations les plus en vogue dans le bal. Il est impossible de ne pas se laisser emporter par les interprétations de l’orchestre, où, à l’énergie déployée viennent s’ajouter de suaves envolées mélodiques et des espaces sonores subtils. Les arrangements sont un autre point fort de l’orchestre et on y décèle souvent quelques perles.
Manos Arriba (Haut les mains) n’est pas un hold-up mais leur dernier CD : un excellent travail, également confirmé par l’enthousiasme que la piste nous renvoie quand Silbando joue en vivo. […] Silbando signe ici un travail tout en finesse dans une interprétation claire où les passages mélodiques s’élancent suavement.
Le groupe dirigé par Chloë Pfeiffer continue son chemin sans décevoir…", Bernardo Nudelman, La Salida n°97, mars 2016.
"Les grands maîtres du tango argentin revisités avec une belle vigueur par huit musiciens de la scène parisienne mariant verve et fantaisie : un projet scellé sur l’album Manos arriba, qui augure d'un live plein de punch.", Anne Berthod, Télérama, 2016.
"Invités par Les Trottoirs, ils sont passés à Marseille, où l'on a adoré leur énergie et leur belle complicité. Silbando régale les tangueros partout où la formation (1 chanteur, 7 musiciens) passe. [...] Son nouvel album "Manos Arriba" inclut notamment "Que Nadie Sepa mi Sufrir", valse péruvienne. C'est à ce succès que "La Foule", de Edith Piaf, doit ses origines Tango... Quand on dit que le tango se nourrit des échanges entre l'Argentine [...] et l'Europe... en voici un témoignage supplémentaire", Jean-Louis Mingalon, Zeste Tango, janvier 2016.
"Une des références du moment ! […] L’orchestre Silbando c’est tout simplement le trait d’union entre le grésillement charmant du tango traditionnel et le dynamisme qui caractérise le tango moderne.", Valentin Riglet-Brucy, Europe 1, février 2017. Lien
"Un tango alerte, […] rafraîchissant et acide à la fois.", Matthieu Conquet, France Culture, février 2017. Lien